La Prise en charge gynéco psy : accompagnements et consultations

Les consultations, collaborations et accompagnements

Lever les freins à la fertilité en quelques séances seulement

En coopération avec des gynécologue, comme dans le cadre de ses psychothérapies, quel soit le format choisi, le protocole de prise en charge n’inclut généralement que quelques séances avec la psychologue, à laquelle s’ajoute souvent une séance de déblocage émotionnel avec la Technique ORIUS.

Trois formats de prise en charge

La Méthode Gynéco-Psy

La Méthode Gynéco-Psy est une prise en charge de la patiente infertile qui implique au moins une consultation conjointe, durant laquelle la patiente est reçue en même temps par le gynécologue* et par la psychothérapeute. Durant le rendez-vous, elle est envisagée dans son intégralité par les deux professionnels complémentaires, et non organe par organe. Il est possible d’être reçue par un binôme formé avec l’un de nos gynécologues partenaires, comme avec tout autre gynécologue, dès lors qu’il y est favorable. Le cas échéant, sur simple demande de la patiente, nous nous chargeons de prendre contact son gynécologue afin de mettre en place la coopération. La Méthode gynéco-psy inclus généralement une séance de déblocage émotionnel avec la Technique O.R.I.U.S.

* Nous pouvons, à la demande de la patiente, prendre contact avec son gynécologue en vue d’une collaboration.

La Prise en charge gynéco psy

Si elle s’appuie sur une coopération entre la psychothérapeute et le gynécologue (l’un de nos gynécologues partenaires ou un autre), la prise en charge gynéco-psy (requise par le gynécologue, ou par la patiente) n’inclus pas de consultation conjointe. Le cas échéant, sur simple demande de la patiente, nous nous chargeons de prendre contact son gynécologue afin de mettre en place la coopération. Lorsque la situation de la patiente le requière, la prise en charge gynéco-psy inclus une séance de déblocage émotionnel avec la Technique O.R.I.U.S.

L’accompagnement psychologique

L’accompagnement psychologique est opéré en marge de la prise en charge médicale, une prise en charge complémentaire à celle du gynécologue. Lorsque la situation de la patiente le requière, l’accompagnement psychologique inclus une séance de déblocage émotionnel avec la Technique O.R.I.U.S.

La séance de déblocage émotionnel avec O.R.I.U.S.

Pourquoi débloquer grossesse même en cas d’OPK, d’IO, d’endométriose, etc. ?

Même lorsque l’infertilité est dite « expliquée », même lorsqu’un diagnostic clinique atteste les raisons « médicales » qui empêchent d’aboutir à une naissance, et malgré l’immensité du désir d’être mère, les freins psychologiques pouvant empêcher un projet de maternité sont fréquents, et nombreux. Parce que la patiente souffre d’un blocage psychologique totalement inconscient, parce qu’elle culpabilise suite à une fausse-couche, parce qu’elle est en situation de stress, parce qu’elle doute de ses capacité à accueillir un enfant, parce qu’elle est éprouvée par la difficulté de son parcours de PMA, ou simplement parce qu’elle a peur de ne jamais parvenir à mettre un enfant au monde… il existe d’infinies raisons susceptibles d’empêcher la survenue d’une grossesse, ou son aboutissement. C’est pourquoi quelle que soit le format de la prise en charge, un déblocage émotionnel avec la Technique O.R.I.U.S. est souvent nécessaire. Une séance d’une heure environs, opérée en régression EMDR. En savoir plus

De l’efficacité de la Technique O.R.I.U.S.

1ère expérience : 294 patientes infertiles en Centre d’AMP

Un an d’observation au sein d’une Clinique de Fertilité

Technique de déblocage émotionnel en régression EMDR, O.R.I.U.S. est l’aboutissement d’années de recherches menées dès 2005 auprès de quelques centaines de couples infertiles dans l’intimité de mon Cabinet de Psychothérapie. Depuis sa première apparition sous le nom « Rebirth Intra Utérin en régression EMDR », O.R.I.U.S. a fait du chemin, et le doute quant à son efficacité auprès des femmes infertiles n’est aujourd’hui plus permis, tel qu’en témoignent notamment les résultats chiffrés de l’expérience conduites entre 2015 et 2016 en milieu hospitalier, en étroite collaboration, au sein de la Clinique de Fertilité privée où elle exerce la médecine reproductive.

Une amélioration du taux de grossesse d’environ 70%

Ayant durée une année, l’expérience menée auprès de 294 patientes infertiles (toutes causes confondues) en parcours de PMA a révélé qu’à l’issue de leur prise en charge, 42,6% des patientes « PMA + gynéco-psy » (35 sur 82) ont démarré une grossesse dans l’année, contre seulement 26,8% pour les patientes « PMA classique » (57 sur 212). Si elles n’ont pas officiellement valeur d’étude scientifique, les données* significatives ainsi recueillies permettent d’affirmer qu’O.R.I.U.S. améliore le taux de grossesse d’environ 70% sur la période d’une année seulement, tous types d’infertilité et d’âge confondus.

(*Très encourageantes, ces données avaient tout de même fait l’objet une publication « Poster médical » à la FFER de Paris en septembre 2016.)

2ième expérience : 146 patientes en cabinet de psychothérapie

Encouragée par les excellents résultats obtenus en milieu hospitalier, Valérie GRUMELIN a ensuite évalué la pertinence d’un accompagnement psychologique adapté à l’infertilité opéré en cabinet. La situation particulière de 146 de ses patientes infertiles en parcours d’aide médicale à la procréation (AMP) dénonçant un absence d’accrochage ou de fécondité, ont ainsi été observées durant une année. 78,8% d’entre-elles sont parvenues à accoucher dans l’année de leur déblocage émotionnel !

Valérie GRUMELIN HALIMI, psychothérapeute comportementaliste spécialiste de l’infertilité

« Je rencontre les femmes qui souffrent d’insuffisance ovarienne, d’endométriose de vaginisme, d’infertilité inexpliquée ou encore d’ovaires polykystiques pour les débloquer en intra utérin. »

La 1ère consultation

« Lors de cette consultation je vous soumettrai mon diagnostic psychologique et le traitement que je préconiserai alors pour vous. Il pourra être psychique physique ou énergétique, partiel ou global. Envisageable en consultation skype ou face time, elle a pour objectif de faire un bilan et définir les causes de l’infertilité inexpliquée ou pas afin de proposer la prise en charge la mieux adaptée et sans perdre de temps ! Bien souvent elle est d’ordre psychologique et environnementale. Le stress et les peurs manifestes jouent beaucoup. Les pressions et les stigmatisations familiales jouent aussi un rôle à ne pas minimiser. Les relations sexuelles pas toujours considérées comme relation plaisir et souvent contingentées comme contrainte ou devoir. »

Les bonnes décisions

« Avoir un enfant doit représenter avant tout le désir d’un couple de donner un fruit à son amour. Si la femme ne ressent pas l’évidence à devenir mère, c’est certainement qu’elle-même a vécu un traumatisme durant sa propre conception. Consulter permet de faire un point précis pour prendre les bonnes décisions. »

Zoom sur la Méthode Gynéco-Psy

Des gynécologues partenaires

Si au-delà de sa collaboration exclusive avec le Dr Bied-Damon de 2015 à 2020, la psy a d’ores et déjà de nombreuses collaborations à son actif, c’est avec les gynécologues partenaires de la première heure qu’elle coopère le plus régulièrement : le Dr Élodie ADDA-HERZOG (Clinique la Muette et Hôpital Foch), le Dr Simone PERDIGAO-COTTA (Institut Montsouris), le Dr. Vanessa Khan (Clinique la Muette) ou bien encore l’Association Maia.

Des expertises complémentaires

« Je rencontre les femmes qui souffrent d’insuffisance ovarienne, d’endométriose de vaginisme, d’infertilité inexpliquée ou encore d’ovaires polykystiques pour les débloquer en intra utérin. Alliant l’expertise du gynécologue spécialiste de la reproduction et celle du psy spécialiste de l’infertilité, la prise en charge gynéco-psychologique permet de bénéficier d’un avis médical global, corps & psychique, afin de mettre toutes les chances de son côté pour l’aboutissement d’un désir d’enfant. Rassurée par cette approche intégrative, la patiente se sent comprise, entendue et rassurée, ce qui l’aide à plusieurs niveaux. Au-delà du regain d’optimisme quant à sa capacité de donner la vie, elle est plus encline à faire confiance aux médecins et à recevoir les soins et traitements qui s’imposent. »